
Communément, faire passer un défunt dans la lumière, c'est l'aider à monter en fréquence et se délester de tout ce qui le retient encore à sa vie terrestre, dont il est amené à se défaire progressivement pour permettre l'étape suivante dans des mondes plus lumineux et qui restent éventuellement des mondes de formes — c'est-à-dire physiques. Typiquement, les énergies de médication, drogue, alcool et toutes celles liées à nos insécurités baissent notre fréquence et nous tendent à involuer plutôt qu'évoluer vers la « lumière ». Cela est valable pour les « vivants » aussi.
Progressivement, le défunt se libère de tout ce qui appartient à son identité terrestre pour ne garder que l'essence de ses apprentissages. Son évolution se poursuit, et il doit se défaire de ce personnage terrestre en raison de ses attachements et des différents fils qui le relient — notamment à ses proches — car cela freine son élévation vibratoire. Notre plan d'incarnation terrestre possède une certaine densité vibratoire, une sorte de marécage comme le décrivent certains voyageurs de l'astral, et le défunt doit s'en extraire pour poursuivre sa route.
L'insécurité et la non-acceptation du deuil, la tristesse des proches sont autant de cordages qui gardent la barque du défunt amarrée entre deux eaux. Aider son défunt, c'est s'en détacher progressivement. C'est comprendre et intégrer peu à peu qu'il faut le laisser partir et lui souhaiter d'accomplir dans la joie la poursuite de son évolution.

Cultiver la joie face à nos proches disparus les aide à poursuivre leur évolution. En revanche, les retenir auprès de nous dans la tristesse et le manque les retient en attachement et les empêche de poursuivre leur chemin. C'est aussi s'enraciner dans quelque chose de révolu, qui n'a plus de raison d'être, faisant ainsi patienter notre évolution.
Marquons le temps du deuil, il n'y a pas de règles en la matière ; tourner la page est la seule chose à faire. Dans la joie, nous pouvons adresser à nos défunts toutes nos intentions sans les ralentir. Dans la joie, nous atteindrons plus facilement leurs énergies et obtiendrons plus facilement des signes d'eux. Dans la tristesse, ce n'est pas forcément notre défunt qui reçoit le message, et cela peut attirer des parasitages qui se nourrissent et entretiennent cette qualité d'énergie. À nous de cultiver le souvenir des moments de joie passés avec eux.
Avec l'accord de votre défunt, je lui offre un soin pour élever sa fréquence et accélérer son évolution. Mon rôle est de l'accompagner à la lisière des mondes intermédiaires, afin que ses guides puissent venir à lui et l'orienter dans son évolution.